Des clients rencontrés lors de salons d’exposition nous disent que le sujet le plus parlé dans les salles d’attente en chimiothérapie est comment il devient difficile de manger. Parmi les symptômes fréquemment vécus, tels que nausées, vomissements, douleurs musculaires, les patients en chimiothérapie mentionnent un goût métallique en bouche (dysgueusie). Plusieurs études rapportent ce phénomène (1, 2, 3). C’est un aspect important, car il diminue l’envie et le plaisir de manger. Or, le fait de manger avec des ustensiles en métal amplifie ce phénomène. GOÛTER LA DIFFÉRENCE!
JUstenbois propose des ustensiles fabriqués d’une seule pièce en bois d’érable à sucre. Ces couverts sont pour un usage au quotidien. L’érable à sucre est l’un des rares bois (avec le bois d’olivier) utilisés en cuisine qui ne se fendille pas au contact de l’eau.
Certains se questionnent à savoir si le bois est hygiénique et si le fait de manger avec des ustensiles en bois peut nuire à la santé des gens en chimiothérapie (i.e. avec une santé plus précaire). Des études effectuées sur des planches à découper ont montré que le bois dur était plus sécuritaire que le plastique (5, 6, 7). (Lire la suite à la section EN SAVOIR PLUS)
JUstenbois offre une alternative intéressante aux patients en chimiothérapie pour pallier au goût métallique amplifié par les ustensiles en acier inoxydable. L’importance de continuer de bien s’alimenter permet au convalescent de récupérer plus rapidement.
Les ustensiles de JUstenbois sont fabriqués en bois d’érable au Québec, selon des valeurs écoresponsables et zéro déchet ; ils vous accompagneront repas après repas pendant les 10 à 15 prochaines années. Alors que l’acier inoxydable a le défaut d’oxyder la saveur des aliments, ces ustensiles n’altèrent pas la saveur des aliments et vous procurent tout le plaisir d’un bon repas préparé avec soin.
Nos produits sont enduits de résine naturelle: huile de lin, cire, romarin et extrait de citron.
Ils sont garantis un an contre des fissurations.
Les bases d’utilisation: On les entretient avec de l’eau chaude savonneuse,
on les rince et on recommande de les essuyer.
Une étude menée aux Pays-Bas mentionne que des femmes atteintes d’un cancer du sein et qui suivaient un traitement de chimiothérapie à base de taxanes* ont mentionné vivre de la dysgueusie. Elles choisissaient de manger moins, mangeaient à des heures irrégulières et/ou perdaient intérêt à préparer les repas pour elles-mêmes ou pour leur famille. Grâce au soutien apporté, elles ont adopté plusieurs nouveaux comportements pour composer avec ce goût métallique: ajouter des épices ou des herbes très goûteuses, ajouter un édulcorant ou un acide à leurs aliments et manger avec des ustensiles de plastiques (4).
Certains se questionnent à savoir si le bois est hygiénique et si le fait de manger avec des ustensiles en bois peut nuire à la santé des gens en chimiothérapie (i.e. avec une santé plus précaire). Des études effectuées sur des planches à découper ont montré que le bois dur était plus sécuritaire que le plastique (5, 6, 7). En fait, sa surface rêche (d’un point de vue microscopique) et poreuse génère des conditions défavorables à la prolifération des micro-organismes (8). De plus, le bois a cette caractéristique particulière de produire des composants antimicrobiens capables d’inhiber ou de limiter la croissance de champignons et bactéries pathogènes (7). En effet on a retrouvé des composés phénoliques dans les feuilles et les bourgeons des érables à sucre qui ont des activités pro-oxydantes anti-pathogéniques (9, 10, 11, 12, 13, 14). Lorsque les bactéries pénètrent dans la matrice du bois, elles ne prolifèrent pas, mais meurent dans les heures qui suivent. (15, 16). La nature hygroscopique du bois, tout comme la présence de métabolites secondaires (tannins, lignine, flavonoïdes) inhibe directement la croissance des bactéries (17). C’est ce qu’on appelle la phytotoxicité.
Le département américain de l’agriculture (U.S. Department of Agriculture) a mené une étude concernant la contamination de E.coli et Salmonella sur des planches à découper en plastique et en bois. Leur étude conclut qu’il restait plus de bactéries sur les planches en plastique usagées que sur des surfaces en bois après lavage à la main. Avant 2013, la «USDA’s Food News for Consumers» recommandait d’utiliser que des planches en plastiques. Suite à cette étude, cet organisme recommande depuis 2014 d’utiliser des planches à découper en bois aussi bien qu’en plastique (18). En France, deux associations: Léo Lagrange (une association pour la protection des consommateurs) et la Confédération Syndicale des Familles et Familles Rurales recommandent d’utiliser 2 planches : une pour la viande et l’autre pour les fruits et légumes. Ils recommandent de laver avec du savon à vaisselle, de bien frotter et de rincer à l’eau tiède. (8)* *
**Cet ouvrage de références résume 86 articles écrits sur le sujet. Le message global de cet article de revue est qu’il n’y a aucun avantage à utiliser le plastique versus le bois concernant la salubrité de la nourriture ; s’il y a une différence, le bois est plus sécuritaire que le plastique (19, 20). Les auteurs concluent en disant : le bois est adapté pour le contact direct avec la nourriture.
RÉFÉRENCES:
JUstenbois peut faire la différence et aider les gens en traitement de chimiothérapie à retrouver le plaisir de manger; on parle souvent d’utiliser ceux en plastique à défaut de ne pas connaitre nos produits. Les plastiques sont reconnus n’être pas totalement neutres, et leurs petites tailles ne facilitent pas la préhension des aliments déjà pas facile en état de faiblesse.
www.Fondation du Cancer du Sein du Québec – Ruban Rose – EFFETS
www.Changements du goût – Société Canadienne du Cancer
Acheter en ligne pour 35.00$ CAD
https://www.ricardocuisine.com /chroniques/bien-se-nourrir/372- manger-malgre-la-radio-et-la-chimio